Série LAdultère « Kathleen » : (Partie 21). De La Pensée Au Passage À LActe, Il NY A QuUn Pas À Franchir. (Épisode 2/3)
Notre rendez-vous avec les industriels lyonnais nétant quà dix heures trente, javais largement le temps de passer à lhôtel afin de finir de me préparer. Pour cette occasion, javais joué le jeu et mon choix sétait porter sur des vêtements affriolants. Javais enfilé une jupe courte, effet cuir qui offrait la particularité de faire apparaître de la jolie dentelle dévoilant ainsi lintérieur dune de mes cuisses, en laissant la fermeture éclair ouverte sur le devant pour un look terriblement sexy, cela avait son petit effet. En haut, je choisis un chemisier noir manches longues, en dentelle également, avec un large col en V, croisé sur le devant menserrant la poitrine, me permettant de ne pas porter de soutien-gorge, ce magnifique décolleté devrait probablement finir le travail, jen étais persuadée.
Dailleurs dans le taxi nous menant à notre rendez-vous, jeus droit aux compliments de mon patron qui me trouva très ravissante. Lui aussi savait quil ne sétait pas trompé en me choisissant comme collaboratrice. Il était toutefois sur la réserve, lorsquil me demanda :
Vous êtes certaine que la fermeture doit rester ouverte ?
Personnellement, jaime bien. Lui répondis-je. Mais si vous désirez que je la referme, je ny vois aucun inconvénient.
Cest-à-dire que jaime beaucoup aussi mais lorsque vous êtes assise, nous voyons le tissu de votre petite culotte. Nest-ce pas trop vulgaire. Cela dit, vous êtes si bien ainsi, ne changez rien.
Vous savez Monsieur Guérin, il ny a de vulgaire que celui qui regarde à cet endroit.
Pardonnez-moi Kathleen, vous êtes vraiment franche et directe ça me plait beaucoup.
Il me drague ce con avais-je pensé, mais pas du tout, il mappréciait tout simplement car il changea tout de suite de conversation et mindiqua comment il prévoyait notre entretien, sans jamais plus faire aucune allusion sur ma plastique ou sur ma tenue. Lors de notre arrivée, nous furent reçus par Monsieur Germain, le PDG en personne, la secrétaire nous servit le café pendant que mon patron après avoir échangé quelques mots de courtoisie avec notre hôte, présenta notre entreprise en détail.
Après avoir répondu à plusieurs des questions pertinentes de Monsieur Germain, mon patron continua son argumentation et sortit de sa sacoche un dossier doù il dévoila quelques chiffres afin de rassurer notre potentiel clients. Ce fut au tour du PDG lyonnais à présenter lentreprise « Germain & fils ». Après une bonne heure de discutions où je mennuyais fortement, une fois les présentations des sociétés faites, François Guérin dit à Monsieur Germain quil devait rentrer après le déjeuner et quil me faisait entièrement confiance pour toutes les négociations :
Kathleen sera votre seule interlocutrice, vous vous apercevrez très vite de ses compétences en la matière. Elle sera à même de vous détailler toute notre production de fabrication.
Pour cela, ce sera avec mon fils Pierre-Louis mon bras droit.
Il nest pas présent aujourdhui ? Jaimerais faire sa connaissance avant de partir. Demanda mon patron.
Si bien sûr, il avait une urgence mais il nous rejoint au restaurant. Jespère profondément et sincèrement que nous ferons affaire ensemble. Dit monsieur Germain en me regardant droit dans les yeux comme sil mapercevais pour la première fois.
Nous étions dans le hall dentrée lorsque Pierre-Louis arriva tout sourire. Il avait lair satisfait de me voir et me dévisagea un instant avant que ses yeux se portent sur mon décolleté pour finir sur la partie en dentelle de ma jupe. À ce moment-là, je sus que je ne métais pas trompée, le jeune lyonnais me détailla sans gêne et je vis que javais fait leffet escompté. Mon air petite bourgeoise coquine lui avait tapé dans lil, vu le large sourire quil me fit. Après les présentations, nous nous sommes retrouvés dans un restaurant, un de ces petits bouchons si réputés de cette magnifique ville de Lyon.
Pendant tout le repas, les deux patrons parlèrent affaire pendant que nous faisions connaissances avec Pierre-Louis. Ce jeune homme était très beau, il avait les traits fins et me fit penser à Alain Delon dans sa jeunesse. Je vis dans son regard quil fut légèrement déçu lorsque je lui dis que jétais mariée, mais ce qui ne lavais toutefois pas empêché dessayer de me séduire. Personnellement, ce garçon de 28 ans me plaisait beaucoup, sous son air prétentieux au prime abord, il était très sympathique et amusant, toute notre conversation ne fut pas professionnelle, elle tourna sur la musique, le cinéma et quelques blagues drôles qui mavaient fait rire franchement. Il avait un peu les mêmes goût que moi et cela nétait pas pour nous déplaire.
Nous nous étions retrouvés dans son bureau à 14h30, javais toute laprès-midi pour lui présenter nos produits. Je compris que cet homme serait difficile à convaincre, ceux de la concurrence lui suffisaient et étaient moins chers que les nôtres. Il fallait que je démontre avec le plus grand des argumentaires quil serait bénéfique pour son entreprise de choisir notre entreprise comme fournisseur principal. Pendant plus de deux bonnes heures de bataille acharnée et de discussion à bâton rompu, il était temps que je me vide, javais une envie pressante.
Je mexcusai auprès de mon hôte et disparut dans les couloirs, cherchant en vain les toilettes. Je fus très surprise dentendre la voix de Pierre-Louis juste derrière-moi. Lui aussi devait se vidanger, ne mapercevant pas, il me chercha et saperçut que je métais perdue. Il vint à mon secours en disant :
Kathleen ! Vous vous êtes perdue, cest juste de lautre côté, je vous y accompagne. Me dit-il avec son plus beau sourire.
Je suis vraiment gourde répondis-je en lui rendant son sourire.
Je sortais des toilettes, lorsquil vint vers moi et me plaqua sans brutalité contre le mur. Je nosais pas bouger, ne sachant plus quoi faire.
Tu es magnifique Kathleen, tu me plais énormément.
Voyons Pierre-Louis soyez raisonnable, nous ne sommes pas ici pour cela. Laissez-moi passer. Lui répondis-je en le poussant du plat de main sur son torse.
Au plus profond de moi, javais très apprécié cet intermède mais fis la jeune femme offusquée. Il se recula et sexcusa de son comportement et me promis de ne plus recommencer :
Je ne sais pas ce qui mest passé par la tête Kathleen, jespère que cela ne nuira pas à nos affaires. Oublions tout cela, poursuivons notre entretien si vous le voulez bien.
À ces mots, je sentis quil était prêt à céder, nos produits lintéressaient, jen étais persuadée, il suffisait que je calcule la marge juste et avec laccord de mon patron, jétais certaine que je partirais le lendemain avec une commande. Nous sommes retournés dans son bureau ensemble comme si rien ne cétait passé afin de continuer notre discussion professionnelle. Il était déjà 17h10 lorsquil me dis quil était lheure de se préparer pour une soirée sympa.
Je vous invite ce soir en toute décontraction au cinéma, il y a une séance à 21 heures, nous dinerons avant. Je viens vous chercher à votre hôtel à 19 heures, ça vous dit ?
Cela ne faisait aucun doute, il voulait se faire pardonner, cest la raison pour laquelle, javais accepté son invitation après lavoir fait languir un peu. Je ne voulais surtout pas lui montrer que jen avais envie aussi. Jadorais le cinéma et ce film dont javais vu la bande annonce devait me plaire. De toute évidence, javais très envie de sortir avec lui, cela me rappela les années avant mon mariage. Je savais par contre que je ne devais surtout pas coucher avec lui cette nuit car je risquais de tout compromettre.
Sous la douche, je ne pus mempêcher de repenser à ce qui cétait passé dans les toilettes, cette situation cocasse mavait mise dans tous mes états, cétait un de mes fantasmes et jétais bien à deux doigts de tomber dans ses bras et lembrasser.
Même habillé très décontracté également, Pierre-Louis était très élégant malgré son jean, son polo de marque et chaussé de mocassins noirs. Nous avons diner dans une brasserie où de nombreux clients le connaissaient, ce fut un vrai défilé. Les hommes comme les femmes venaient nous saluer à notre table et certaines dentre elles nhésitaient pas à me foudroyer du regard par jalousie. Cela avait beaucoup fait rire Pierre-Louis qui ce soir-là était un tout autre jeune homme. Il retrouvait sa vraie nature, celle dun jeune aimant faire la fête avec ses copains et ses copines.
Si ses regards posés sur moi, démontraient quil avait envie de moi néanmoins, il resta courtois, à aucun moment, il me dragua ouvertement. Ne voulant pas renouveler léchec de laprès-midi, il essayait plutôt de memmener sur ce chemin en espérant que je fasse le premier pas. Cela marrangeait beaucoup, je navais donc pas à me forcer pour lui refuser ses avances. Nous avons ri comme des gosses, Pierre Louis avait beaucoup dhumour et nous nous sommes amusés comme des petits fous. Je ne connaissais pas ces moments damusement avec Guillaume qui était bien trop sérieux et je men rendis compte seulement ce soir-là.
Dans la salle obscure devant lécran, nous étions attentifs devant les images qui défilaient devant nous. Le film avait débuté, depuis une demi-heure, lorsquil posa sa main sur la mienne en me la serrant légèrement. Trop absorbée par le film, je ne pensais plus à rien dautre, je le laissai faire comme si cétait mon petit ami. Nous discutions doucement de cette histoire passionnante pleine de suspens, en donnant chacun notre avis sur le coupable. Nos visages étaient quelques fois à quelques centimètres afin de faire le moins de bruit possible. Placés ainsi, je ne sais pas pourquoi, mais je lui fis une bise sur les lèvres naturellement avant de poursuivre la suite de lhistoire. Ce petit baiser me donna un réel frisson, ce geste me mis dans tous mes états.
Pierre-Louis avait dû ressentir la même chose, car il quitta ma main pour poser la sienne sur ma cuisse, je fis de même et nous nous étions rapprochés comme deux amoureux de 16 ans. À la fin du film, jaurais aimé quil continue ses caresses, mais je savais que javais fait une grosse erreur, je ne savais plus comment faire pour me sortir de cette situation. Ce fut main dans la main que nous avions regagné sa voiture. Avant de monter à lintérieur, il essaya de membrasser, jen avais très envie mais je ne voulais pas céder, il nen était pas question :
Pierre-Louis ! Sil te plait laisse-moi, pas ce soir, moi aussi jai fait une erreur tout à lheure comme toi, laprès-midi.
Un partout la balle au centre ! Me dit-il en riant. Ok mais si tu as envie de recommencer, surtout ne te gêne pas, jai beaucoup apprécié.
Bien entendu, je navais pas utilisé la bonne excuse, pour lui, jétais partante mais pas tout de suite. Il était monté dans la voiture après moi, nous avions roulé pendant plus dun quart-heure, javais encore bien ri de ses blagues, pendant ce cours trajet. Malheureusement, tout avait une fin, je lui dis que javais passé une excellente soirée et cétait vraiment sincère, jétais même déçue que cela se termine déjà. Il avait attendu le dernier moment pour renouveler ses avances.
Juste avant que je descende de sa voiture devant lhôtel, je venais de retirer ma ceinture de sécurité lorsquil mattira à lui, de ses bras puissants il menlaça et força ma bouche. Je nai pu que répondre à son baiser, il sentait bon, sa langue avait un bon goût. Il savait embrasser, il y avait bien longtemps que je navais pas embrassé un homme autre que le mien et cela mexcita dautant plus. Je pris son visage entre mes mains et lui dis :
Non ! Pierre, pas ce soir, nous ne pouvons pas faire ça
Ce serait une énorme erreur et noublie pas que je suis mariée.
Tout en gardant mes mains sur ses joues, nous nous fixions dans les yeux, je lui déposai un gros bisou sur la bouche et lui dit : À demain Pierre-Louis, tu es adorable. » « Tu me fascine Kathleen, je vais penser à toi toute la nuit. ». Sil avait rêvé de moi comme il lavait dit, pour ma part, jeus de très grosses difficultés à mendormir. Pierre-Louis était avec moi en permanence, son image ne quittait pas mon cerveau, il me hantait et je ne voulais pas quil me quitte.
Jeus très peur de tomber amoureuse de ce garçon, il me faisait un effet comme jamais je navais connu. Le lendemain matin dans son bureau, nous sommes tombés dans les bras lun de lautre. Nous nous sommes embrassés sur la bouche mais sans la langue car je savais que jirais beaucoup plus loin, il mexcitait tant et je désirais vraiment coucher avec lui, cétait autant physique que cérébral. Ce fut avec de la peine que je descendis de la voiture devant la gare, ayant dans mon petit cartable, une grosse commande, il avait décidé de prendre tous nos produits. Lorsquil avait signé le bon de commande, il mavait dit :
Je te jure que je ne signe pas pour toi, notre flirt na rien à voir. Simplement, tu es parvenue à me convaincre de la qualité de vos produits et pour nous lavantage de les vendre.
La commande était importante et devait être renouvelée tous les mois, cétait tout à fait exceptionnel pour nous, simplement Pierre-Louis avait demandé que je vienne le mois prochain pour le renouvellement qui pouvait très bien se passer par internet. Javais accepté mais il fallait que mon patron accepte :
Ne ninquiète pas Kathleen, je me charge de lui dire.
Mon TGV allait partir dans une vingtaine de minutes, il avait tenu à maccompagner jusque dans le train. En le voyant triste sur le quai me faisant des signes dadieu de la main, je métais mise à pleurer sans lui montrer. Je ne savais pas comment me passer de lui pendant un mois. Jétais pleine de regrets, je me voyais encore dans les toilettes avec lui. « Comment ai-je pu refuser de faire lamour avec lui, alors que jen mourrais denvie ? »
Jétais partie dans un songe où je me voyais lui faire une fellation très sensuelle afin quil soit en pleine érection. Jétais devant le siège, les mains reposant sur la cuvette des WC, mes fesses bien en arrière. Bandant très fort il me pénétrait jusquà la garde, je remuais ma croupe au rythme endiablé de ses coups de reins. Tellement excitée par la situation, je mouillais et mouillais de plus belle, je sentais venir lorgasme au fur et à mesure quil me pilonnait, il mavait semblé que cela durait depuis une éternité, lorsque jentendis sa respiration saccélérer et ses râles, ne pouvant plus se retenir, il éjacula en même temps que je prenais mon orgasme.
Je regrettais aussi de lui avoir refusé de monter dans ma chambre dhôtel, jétais certaine que nous aurions passés une nuit de folie. Pierre-Louis était lamant quil me fallait mais malheureusement, je devais attendre un long mois avant de le revoir. Dès mon arrivée chez moi, je profitai dêtre seule pour ouvrir ma boite mail. Je venais juste de recevoir un e-mail de Pierre-Louis.
« Tu me manques déjà terriblement Kathleen, jattends avec impatience ta venue. Je tembrasse très fort. »
Je lui répondis immédiatement lui disant à peu près la même chose. Le plus difficile était à venir, je devais tout avouer à mon mari. Je me devais dêtre franche envers Guillaume et lui dire que je venais de faire la connaissance dun homme avec lequel javais flirté et quil était bien possible que jaille plus loin si loccasion se représentait. Je vous raconterai cela dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, nhésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Kathleen, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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